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économie rurale
11 mars 2016

Pesticides: Croplife prône une filière compétitive et responsable

   FORMATION DES FORMATEURS - CROPLIFE CAMEROUN - 04-03-2016 - IMG_4925FORMATION DES FORMATEURS - CROPLIFE CAMEROUN - 04-03-2016 - IMG_4922  FORMATION DES FORMATEURS - CROPLIFE CAMEROUN - 04-03-2016 - IMG_4927L’association des firmes distributrices de pesticides (Croplife Cameroun) a interpellé le ministère de l’agriculture pour qu’il fasse des sondages inopinés dans les marchés mais cela n’est pas fait. En attendant, elle agit en amont sur l’information et la formation des formateurs. Arnauld Kingue, directeur de la société Africaware SARL(Cameroun) répond aux questions de Ruben Etienne, journaliste/Agric-infos.

FORMATION DES FORMATEURS - CROPLIFE CAMEROUN - 04-03-2016 - IMG_4923

 Croplife prône le respect du code d’éthique dans la filière mais concrètement, comment se traduit son action sur le terrain ?

 Arnauld Kingue: Croplife ne cesse de le marteler, il faut informer et former les revendeurs et les utilisateurs. A la maison, il faut toujours laver les légumes et les fruits  avant de les consommer. Le producteur agricole avant d’acheter un pesticide doit lire l’étiquette. Elle le renseigne sur les délais et les conditions d’application. Maintenant, c’est à chacun de prendre ses responsabilités.  Nous avons interpellé le ministère de l’agriculture pour qu’il fasse des sondages inopinés dans les marchés mais cela n’est pas été fait. En attendant, Croplife agit en amont sur l’information et la formation

 Y-a-t-il une technologie (un kit) pour mesurer les résidus de pesticide à titre personnel ?

CROPLIFE CAMEROUN clôture un atelier de formation des formateurs à Douala le 04-03-2016 - photo. Florence Esther

 

 Arnauld Kingue: La FAO a publié une liste des limites maximales de résidus (LMR). Cette liste donne les limites tolérables. Toutes ces informations sont exigées par la commission nationale en charge de la certification avant l’homologation du pesticide. Mais en plus, des recommandations techniques déjà citées, il y a des habitudes à adopter : le revendeur doit se fidéliser à son grossiste, le producteur à son revendeur et la ménagère à son commerçant. Cela  permet d’avoir une traçabilité de la denrée.  En cas d’intoxication, il est facile d’établir la chaine de responsabilité. Pour le reste, il faut que le ministère de l’agriculture fasse effectivement son travail de référencement et de certification et tout ira bien.

 Ruben Etienne

Journaliste / Agric-infos

 

 

 

 

 

 

 

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